Vous avez peut être lu des mangas choquant, vu des films qui vous laissez littéralement sur le « …. »  popotin.

Mais là, je vous emmènes dans un univers qui est bien au dessus de tous ça. Si vous êtes prêt, alors c’est parti !

Gantz ! Le choc du manga !

Donc la première question des ptits curieux sera :

Mais c’est quoi Gantz ?

Ce à quoi je répondrais ça :

Bim ! On commence fort ! Et croyez moi, c’est qu’un début. Mais bon, pour l’instant, on va faire une présentation plus soft. Tout d’abord, le synopsis :

Kei Kurono, un jeune lycéen pervers et égocentrique, attend sur le quai du métro quand un sans-abri tombe ivre mort sur les rails. Seul Masaru Katô, un ancien ami d’enfance de Kei, descend pour aider le vieil homme. N’y arrivant pas, il demande de l’aide à son camarade, qui accepte à contrecœur, et les deux jeunes hommes parviennent finalement à sauver le SDF. Malheureusement, ils n’ont pas le temps de remonter et se font percuter par un métro qui arrive. Alors qu’ils se croient morts, ils sont téléportés dans un mystérieux appartement où se trouve une étrange boule noire, Gantz.

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Pour ce qui est ensuite d’une critique bien écrite, je dirais que Gantz est un animé qui aime jouer avec nos nerfs. Sans cesse les personnages sont soumis à des épreuves toujours plus difficiles et cruelles, et plusieurs n’en réchapperont pas. Souvent critiqué pour son côté violent, Gantz nous plonge au contraire dans un univers cru et sans fioritures, ce qui lui donne davantage de consistance. Le rythme est soutenu du début à la fin. Côté animation, c’est plutôt pas mal. Les scènes de combat sont fluides et bien rythmées. Certains trouvent que le character design est assez déconcertant, mais il colle bien à celui du manga. Je préviens tout de suite : l’auteur est clairement adepte des poitrines rebondies et des petites culottes.

À propos du manga, d’ailleurs, sachez que cet animé ne prend en compte que les huit premiers tomes. Les cinq derniers épisodes ne suivent d’ailleurs plus la trame du manga afin d’apporter une conclusion à la série alors que le manga devient réellement intéressant autour du dixième tome, l’animé peine un peu à se démarquer. Le fil rouge de l’animé n’est que le synopsis du manga, ce qui fait que les puristes pourraient être déçus par cet animé.

Donc, on l’aura compris, cette fois ci je mets l’accent sur le manga et non pas sur l’anime. Et maintenant qu’on connait le résumé et l’avis, faisons un petit zoom sur les points forts du manga :

• Le héros. Kei Kurono est le genre de héros que l’on a jamais vu dans un manga. Égoïste, peureux et sans aucune humanité, ce jeune lycéen démarre la série avec un état d’esprit lamentable. Ces réactions sont celles que beaucoup d’entre nous pourraient avoir mais bien évidemment, cela va évoluer et Kurono va se re découvrir et devenir un personnage incroyable.
• Le gore. Ça fait partie de l’histoire. La situation est horrible, les images se doivent de l’être, et ça rend le manga encore plus prenant.
• L’histoire. Bien sur ! C’est évidemment ce qui est le mieux réussit dans ce manga. Le scénario est fait d’une telle manière qu’on se pose un milliard de questions et qu’il faudra une vingtaine de tomes avant d’avoir une réponse. Et personnellement, quand je ne comprends pas, moi j’adore !

Gantz au cinéma

Alors autant le dire, Gantz n’échappe pas à la règle des « mangas sortis en film et ratés« . Il y a deux films qui pour le coup rassemblent plus d’élément du manga que l’anime mais franchement, ça marche pas. Les acteurs sont pas assez bon, les effets spéciaux ne sont pas bon, l’histoire est bâclé (trop rapide) et j’en passe. En gros, si vous souhaitez découvrir ce manga, lisez les livres bon sang !

Pour le coup, ce coup-ci, je vais faire une exception et donc il n’y aura pas de vidéo, encore une fois pour promouvoir la version papier. Mais en échange, voici quelques clichés bien sympas qui je l’espère, vous mettrons en haleine.